Le 18 janvier, la Municipalité du Mont-sur-Lausanne, a validé notre initiative populaire visant à anticiper les conséquences du réchauffement par l’accroissement de la couverture végétale au Mont durant les 20 prochaines années. Vous aurez la possibilité de la signer du vendredi 21 janvier au mardi 19 avril.
En revanche, la Municipalité a invalidé la seconde initiative qui prônait que les habitants du Mont se prononcent sur le projet de bétonnage titanesque de l’emblématique vallon sauvage de Valleyre. La réponse de nos édiles est « qu’il n’y a pas de changement sensible des circonstances… (depuis 2006 !)». Permettez-nous d’en douter ! Le changement est devenu plus que sensible et il requiert maintenant un réel courage politique. La conclusion du communiqué de presse de la Municipalité, frôlant le déni cosmique, tente de rassurer la population en annonçant la poursuite des discussions avec … les responsables de cette situation (le groupement de propriétaires à l’initiative de la plupart des plans de quartier, le SAF).
Nous n’avons pas peur de lever les yeux, nous défendrons toujours l’environnement et le poumon vert du Mont ; notre énergie à nous est renouvelable, durable, et ça change tout !
Le compteur s'arrête à 1275 signatures. Si nos estimations s'avèrent correctes, le nombre de signatures valables devrait approcher les 1100 soit 25% de plus ce que le strict nécessaire. Enorme succès pour la 1ère initative populaire du Mont. MERCI !
Il n'y a plus de suspense, avec 1160 paraphes recueillis à ce jour, l'initiative "Des arbres pour la commune !" a sans nul doute largement atteint l'objectif des 904 signatures valables. Nous les remettrons à la Municipalité le mercredi 20 avril prochain. Merci à toutes et à tous. C'est incroyable, nous l'avons fait !
Au 19 février, soit 4 semaines après le lancement, c'est pas moins de 550 paraphes de Montaines et de Montains soutenant notre initiative qui ont pu être récoltés. Notre 1ère initiative a donc déjà un pas au Conseil communal qui devra voter. Si le vote est négatif, c'est la population qui aura le dernier mot.